source: enerzine.com
Les micro-organismes pourraient affecter la stabilité de l'entreposage de résidus radioactifs, un problème encore méconnu, qui fait l'objet d'une étude pionnière à l'École Polytechnique Fédérale de Lausanne (EPFL).
Sous terre, le temps semble s'être arrêté. C'est pourquoi les profondeurs de la Terre sont considérées comme les endroits les plus sûrs pour enfouir les déchets nucléaires. Mais les scientifiques ont constaté une intense activité bactérienne dans ce monde souterrain, suite à l'intrusion humaine. Des scientifiques de l'EPFL ont lancé un programme de recherche afin d'identifier ces microorganismes souterrains. Ils comptent mieux comprendre quelle pourrait être leur influence sur l'étanchéité des barrières utilisées pour confiner les déchets nucléaires - conteneurs, béton ou roches, par exemple.
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