source: Greenpeace France
Le texte propose une mesure historique : la fin d'ici deux ans
(à compter de l'adoption définitive de cette réglementation) du
chalutage profond ainsi que l'interdiction de la pêche aux filets
maillants de fond.
La Commission reconnaît aujourd'hui que le chalutage profond est
une pratique destructrice pour les océans, et les habitats marins
vulnérables, destruction dont l'étendue n'est pas encore connue
aujourd'hui.
La proposition de la Commission met aussi l'accent sur le fort taux de prises accessoires du chalutage profond : entre 20 et 40% des poissons et autres organismes marins capturés ne sont en fait pas les espèces visées, et donc rejetés à la mer directement, morts ou mourants.
Enfin, la Commission admet aujourd'hui l'inefficacité des mesures prises jusqu'à présent et souhaite mettre fin à cette pratique destructrice.
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