Présentée par Ségolène Royale, Ministre de l’écologie, du développement durable et de l’énergie, la Stratégie nationale contre les perturbateurs endocriniens a été adoptée par le Conseil national pour la transition écologique le 29 avril.
Ce texte prévoit de réduire l’exposition de la population et de l’environnement à ces substances chimiques, notamment en soutenant la recherche sur ce sujet ( en finançant des programmes de recherche et en mettant en place une plateforme public-privé qui permettra de réduire les délais des tests sur les substances chimiques). En effet, ces produits sont susceptibles de perturber le système hormonal et d’augmenter les risques de certaines maladies (cancers, diabète, troubles de la fertilité...). « Leurs effets sur la santé humaine et l’environnement aujourd’hui documentés appellent à l’action afin de prévenir les risques (...) en particulier pour les populations sensibles, femmes enceintes et jeunes enfants ».
Le texte prévoit ainsi de stimuler la mise en œuvre de produits de substitution innovants et non toxiques, et d’améliorer l’information des citoyens à ce sujet, tant dans le champ personnel que professionnel
[VEILEGI]
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