Le secrétariat de la Convention des Nations Unies sur la lutte contre la désertification vient rendre disponible une deuxième édition de la publication Désertification : La ligne de front invisible :
« La terre est notre capital naturel. Mais les sols sains et productifs s’amenuisent à grande vitesse, tout comme les mécanismes d’adaptation traditionnels utilisés par plus d’un milliard de personnes qui dépendent de terres dégradées et vivent dans des pays pauvres ou fragilisés. Si nous protégeons les terres productives, nous protégeons aussi les moyens de subsistance des foyers qui en dépendent ; nous accordons une plus grande place à l’agriculture pour la croissance et le développement économique des pays ; nous évitons que le tissu social ne se détériore ; et nous renforçons les systèmes politiques de démocraties naissantes. Agir en amont revient bien moins cher que les politiques d’aide et les interventions militaires face aux crises politiques dues à la désertification et à la sécheresse, provoquées par le changement climatique.»
Source : Secrétariat de la CLD
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