Cette décision a mobilisé les groupes écologistes locaux qui ont vivement protesté. Les communautés indiennes d'Amazonie en revanche sont partagées. La décision en tous les cas a surpris, le président équatorien, Rafael Correa, ayant défendu jusqu'aux Nations unies depuis 2006 la préservation à 100% de la zone Yasuni-ITT. Les origines de ce débat sont présentées par Jean-Jacques Kourliandsky, dans un article intitulé « Qui veut la « peau » du principe de précaution ? » et publié sur le Huffingtonpost.
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