Toutes les personnes impliquées dans la gouvernance forestière sont d’accord sur la nécessité de bâtir la confiance au sein et entre les groupes, comme l’ont dit des experts et des dirigeants autochtones lors d’une table ronde au Forum mondial sur les paysages, en marge de la réunion de l’ONU sur le changement climatique à Lima.
La discussion a été organisée par le Groupe de travail des Gouverneurs pour le Climat et les Forêts (Governors’ Climate & Forests Task Force ou GCF), l’Alliance Tropiques Durables, ainsi que le Consortium des Moyens de Subsistance Basés sur les Forêts.
On a beaucoup parlé de l’établissement de plates-formes pour des dialogues multipartites où des gouvernements, la société civile, des groupes autochtones et des acteurs du secteur privé peuvent se rencontrer. Les gouvernements locaux sont bien placés pour encourager ce dialogue, selon le modérateur Rosa Maria Vida qui est également directeur exécutif du Fonds du GCF. Le dialogue est fondamental, dit-elle, mais il ne sera pas suffisant pour réduire la déforestation.
Source : CIFOR
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