Pour sa troisième édition, le Forum du CNRS "Que reste-t-il à découvrir ?" sera consacré aux changements climatiques, en lien avec la COP21. Les 13 et 14 novembre 2015 à Paris, le public pourra échanger avec une centaine de chercheurs sur la prévision du changement climatique, ses conséquences pour notre planète et les solutions innovantes à mettre en œuvre pour limiter son impact. Tables rondes, débats et "cartes blanches" réuniront de grands spécialistes de la recherche française.
Au programme de cette édition :
Nouveauté 2015 : les tables rondes interactives
A partir d'extraits de documentaires, d'interviews ou de photographies, les chercheurs débattront de thématiques larges au cœur des interrogations sur les changements globaux. La ville peut-elle devenir durable ? Quel est le rôle des pôles pour la surveillance du climat ? Quelles sont les conséquences des changements globaux sur l'océan ?
Les cartes blanches
Cinq cartes blanches permettront à de grands spécialistes de la recherche française, Edouard Bard, Valérie Masson-Delmotte, Catherine Larrère, Ghislain de Marsily et Françoise Gaill, de s'exprimer sur un thème de leur choix.
Les tables rondes
Comment faire face à la raréfaction des ressources naturelles ? Comment consommer intelligemment les énergies nouvelles ? Faut-il une gouvernance mondiale pour les questions environnementales ? Voici quelques-uns des thèmes abordés lors des tables rondes.
Les duos
Les duos permettent d'explorer deux points de vue complémentaires sur une thématique donnée comme le green computing, une technique qui vise à réduire l'empreinte écologique, économique et sociale des technologies de l'information et de la communication. Les liens entre climat du passé et climat à venir, le climato-scepticisme, l'impact du réchauffement climatique sur la santé et le prix de la nature seront également abordés lors de ces duos.
Les 10 minutes chrono
Trois mini-conférences de dix minutes chacune pour aborder un même thème sous différents angles comme les bioénergies, le recyclage, l'adaptation du vivant, le nucléaire ou les sciences participatives.
Source : CNRS
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