L'Échange Oslo REDD 2016 (Oslo REDD Exchange 2016) a permis aux professionnels et aux dirigeants travaillant sur la réduction de la déforestation et de la dégradation des forêts dans les pays en développement (REDD) de partager des idées, des expériences et des perspectives sur le sujet. Les discussions ont porté sur la mise en œuvre du REDD au niveau national et infranational à la lumière de l'accord de Paris, et sur des thèmes transversaux, notamment sur les options de financement, les engagements des entreprises des chaînes d'approvisionnement, les peuples autochtones et les technologies de surveillance.
Au cours des séances plénières, les discussions ont porté sur la mise en œuvre du REDD aux niveaux national et infranational, et sur les alliances et les partenariats internationaux soutenant cette mise en œuvre dans les pays riches en forêts. Des sessions parallèles ont permis d’échanger sur des études de cas du Brésil, de l'Indonésie, et de régions, telles que la région maya du Mexique, l’est du Kalimantan en Indonésie, et le Mai Ndombe en République démocratique du Congo. Les sessions ont également abordé : l’intégration du REDD dans l'économie verte, avec des leçons tirées de l’expérience de l'Éthiopie et du Libéria; des options nationales et internationales en matière de financement fondé sur les résultats; l’assurance du soutien mutuel entre le REDD et les processus de paix; la promotion des droits des peuples autochtones à travers le REDD; les enseignements tirés des initiatives axées sur le lieu, en ce qui concerne le financement, les baux, le genre et les liens avec les programmes nationaux; la mise en œuvre des engagements concernant la chaîne d'approvisionnement; et les outils pratiques pour le suivi et la mise en œuvre. Les participants se sont engagés dans des exercices de vote afin d’identifier les moyens les plus prometteurs à mettre de l'avant.
* Texte tiré de la nouvelle de l’IISD.
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