« Nous sommes à l’avant-plan de soutien aux plans d’action nationaux en faveur du climat, nous l’avons fait pour soutenir la ratification de l’Accord de Paris par le Parlement », vient d’indiquer l’association des reporters et médias pour la protection de l’écosystème de la République démocratique du Congo (RDC). Les « Journalistes verts » comme ils se font appelés espèrent ainsi intensifier le dynamisme des villes, États, régions, territoires, entreprises et sociétés civiles qui soutiennent les plans d’action nationaux en faveur du climat mais aussi de mettre en relief l’objectif de température convenu à l’échelle mondiale et les objectifs, immenses, de l’Agenda 2030 pour le développement durable.
Dans un communiqué rendu public le 12 novembre 2017, les journalistes verts de RDC soulignent que « L’assainissement des [leurs] espaces de vie devra occuper une place de choix dans [leur] plaidoyer, puisque la communauté des êtres vivants que sont [les Congolais] sont, appelée biocénose, et le milieu dans lequel [ils vivent], appelé biotope doivent être protégés et assainis des effets nocifs de gaz émis ».
Aussi, les journalistes verts représentés à Bonn pour la COP 23, demandent-ils en contrepartie, que la RDC bénéficie de la totalité du montant d’un milliard de dollars sollicité dans le cadre de l’initiative Forêt d’Afrique centrale. Tout comme ils plaident pour que la RDC reçoive d’autres financements dans le cadre du fonds vert climat. Avant 2020, des fonds pourraient être débloqués au bénéfice des pays éligibles à une bagatelle de l’ordre de 100 milliards de dollars, la RDC, pays en développement, en fera sans doute partie mais il faut des projets potables.