Pour la consécration inédite de la gent féminine, l'ouvrage-magazine intitulé "Grandes Figures Féminine du Cameroun" a été solennellement présenté par son éditrice Madeleine Tchuinte, ministre de la Recherche scientifique et de l'Innovation (MINRESI), le 27 février 2014 à Yaoundé.
La rédaction de ce livre qui participe de la promotion de la femme camerounaise a été coordonnée par le professeur sociologue Valentin Nga Ndongo qui au cours de son intervention reconnaît que "la promotion de la femme est bien engagée au Cameroun. Cette promotion s'inscrit dans le droit fil de nos valeurs et cultures fondées sur la recherche de la complémentarité des sexes".
En effet, il s'agit des femmes pionnières dans les luttes pour l'émancipation de leurs soeurs et la conquête de la liberté de leurs compatriotes. Et Madeleine Tchuinte de relever dans ce sens : "Nul ne saurait, aujourd'hui, de bonne foi, nier que la femme camerounaise évolue souvent avec brio dans tous les domaines de l'activité nationale, qu'il s'agisse de la politique, de la culture, de la recherche scientifique, de l'innovation, du commandement territorial, de la sécurité nationale, de la culture, de la recherche scientifique, de l'innovation, de l'éducation et de la diplomatie".
Au nombre de ces dames dont les actions au quotidien forcent l'admiration, nous pouvons citer Mme Chantal Biya (Première dame camerounaise et Ambassadrice de bonne volonté de l'UNESCO), Delphine Tsanga (première femme ministre en Afrique subsaharienne), Elisabeth Tankeu (première bachelière en mathématiques au Cameroun), Julienne Keutcha (première femme député du Cameroun indépendant), Madeleine Tchuinte (MINRESI, docteur en pharmacie), Libom Li Likeng (directrice générale des Douanes), le médecin colonel Rose Angéline Nga...
S'inscrivant dans une perspective de paix, d'unité et de démocratie, "Grandes Figures Féminine du Cameroun" est un ouvrage de 172 pages dont le contenu est "ouvert, flexible et tolérant, sans discrimination aucune, ni de couleur idéologique, ni de bord culturel, ni d'appartenance, ni d'obédience ou de sympathie politique".
D'après la ministre Tchuinte, ce livre sortie des ateliers de "Press-book Communications" est précurseur "d'autres travaux sur la femme camerounaise".