Pas plus tard qu'hier je promis de revenir sur ce sujet qui commence à passionner tant les jeunes et les adultes. Ce, pour la simple raison les tractations sur les changements climatiques. Et pour quelle finalité? La Conférence des Parties ( la sixième qui aura lieu à Cancun au Mexique). Le monde ira siéger pour déterminer l'avenir de la Pachamama et pour quelles fins? Pas grand espoir n'est en tout cas permis. Et pendant cette rencontre qui finit par draîner le plus de monde, les pays africains clameront encore et encore des substantifs assez éloquents quand même!!! Financement,adaptation et le transfert de technologie, le quatrième laissons le au bon soin de pays développés.
Mais dans cette réflexion, le substantif qui nous intéresse le plus reste le transfert de technologie. En fait qu'en est-il?
Il nous semble que nous africains, demandons aux états européens de nous "passer la main" en nous livrant le secret de leurs efforts qui d'ailleurs auraient contribué à ce problème climatique auquel nul ne sera malheureusement épargné.
Mais là nous (les africains) avons été clairvoyants. Nous avons au mieux sélectionné les meilleurs des technologies: les énergies renouvelables. Mais allons nous en rester là? Et quelles sont en effet les besoins en technologie de l'Afrique.
A cette question la liste n'est jamais exhaustive. Ceci voudra dire qu'au delà de tout, l'Afrique doit pouvoir diagnostiquer ses besoins en technologie. Malheureusement, cette phase semble ne pas préoccuper les concernés qui encore une fois à BAMAKO ( Amcen , Juin 2010), ont brillé de par la défense des intérêts beaucoup plus personnels.
C'est le temps ou jamais pour l'Afrique de sortir de sa léthargie et se mettre à la hauteur du débat mondial. Ses experts sont de classe mondiale ! Pas vrai?
07/10/24 à 12h30 GMT