En rompant les négociations avec les étudiants jeudi, le premier ministre Jean Charest invite les Québécois à choisir un camp et à en découdre aux prochaines élections. Outre le fait que cette situation crée un vide qui ouvre la porte à toutes les dérives au cours des prochaines semaines, cette invitation à être avec lui ou contre lui impose quelques remarques. Nous ne soulevons que celles qui touchent directement la question de la participation citoyenne au débat démocratique.
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Source: GaïaPresse
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