En riposte au maire Labeaume pour qui l'agriculture en ville n'est pas une priorité, les organisateurs et conférenciers ont souligné les bénéfices du phénomène : réduction des eaux de ruissellements et des îlots de chaleur, augmentation de la biodiversité, embellissement et verdissement des espaces publics, augmentation de l'activité physique des citoyens, souveraineté alimentaire. %u2018'Ça fait deux générations que les gens de Québec sont devenus des urbains. On a accepté le fait qu'on vit en ville, mais on veut rajouter de la nature, on veut se rapprocher de la nature'', explique le porte-parole de l'événement et chroniqueur horticole Larry Hodgson.
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Source: GaïaPresse
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