Le ministère de l’enseignement supérieur et universitaire (MINES) vient de mettre à la disposition des étudiants de la République Démocratique du Congo une nouvelle carte biométrique permettant à ceux-ci de sécuriser son identité et à conserver leurs documents relatifs à leurs parcours académique. L’innovation a été présenté au cour d’un atelier de renforcement de capacité des animateurs de l’enseignement supérieur et universitaire (l’ESU) tenu du 12 au 13 mai 2017 à l’HOTEL VENUS à Kinshasa ;

Cet atelier était axé sous deux thèmes « la problématique de fonctionnement des universités congolaises depuis 1954 » et « le portail informatique de l’ESU ». Le Directeur Général de l’entreprise INOVEXI SARL, Monsieur Jackson, d’exécutant de ce projet d’une durée d’un mois et demi a exposé sur ces différent thèmes durant le deux jours de l’atelier, tout en évoquant les problèmes rencontrés au cours d’une enquête mené dans ce sous-secteur de l’éducation nationale. Il ressorts de cet étude quelques problèmes suivant :

-      Problème lié au document académique. L’étude a repéré certaines attestations académique non-conformes ou fausses surtout pour les étudiants en mouvement (étudiant qui quitte un établissement vers un autre), incapable de vérifier le document qui vient d’une université à une autre ;

-      Problème de l’environnement de l’étudiant ; La bibliothèque,  40% de document qui s’y trouve sont des thèses des travaux de fin de d’études et cycle et non de livres (documents, recherche scientifique) et pourtant il est recommandé à un étudiant de lire un livre par semaine.

-      Le problème de surpeuplement des étudiants dans la salle de cours ou massification des auditoires selon le concept de l’ESU

-      L’insuffisance de professeurs qualifiés en République Démocratique du Congo, 2.898 professeurs qualifiés en République Démocratique du Congo alors que l’effectif des étudiants est de 473.893 soit 1 professeur pour 246 étudiants ; alors que le ratio international est d’un professeur pour 20 étudiants.

-      L’administration archaïque de l’ESU…

INOVEXI RESOUD LES PROBLEMES

Le Directeur Général de l’INOVEXI SARL a proposé comme solution aux problèmes précités :

• La carte biométrique électronique ; Elle sera une source de financement, l’innovation de la carte apporte la capacité non seulement d’identifier l’étudiant mais aussi, elle permet de communiquer.

Elle contient à l’intérieure une carte mémoire capable de sauver les documents académique et toutes les informations liées au détenteur ; Et toutes ces informations synchronisés par le serveur central de l’ESU, serveur du gouvernement ; En lieu et place de plusieurs serveurs pour chaque établissements.

• INOVEXI SARL apporte également des papiers académique sécurisé, papiers fabriqués par la banques américaine, a déclassé le Directeur Général de l’INOVEXI ; Ainsi que un stylo électronique qui permet aux animateurs de l’ESU de vérifier l’authenticité du document académique.

• Elle  règle enfin le problème d’environnement de l’étudiant, 30 millions de livres dans une bibliothèque virtuelle, tout dans un serveur.

 Prenant la parole à son tour, le Ministre de l’ESU STEVE MBIKAYI a déclaré que dans sa feuille de route, il va faciliter le transport des étudiant à un prix hors concurrence, car selon lui cela est le début de la mise en œuvre de reforme dans ce sous-secteur de l’éducation nationale. Il compte interconnecter tout les établissements par fibre optique, répondant à une question de la presse, le Ministre de l’ESU rassure que cette carte sera délivré à Kinshasa la semaine en cours après viendra le tour des provinces, s’agissant du prix de la carte est inclut dans les frais académiques (accès à la bibliothèque). Mais une petite somme sera payée pour permettre au gestionnaire de la carte de l’entretenir durant 5 ans, soit la durée de l’utilisation de cette dernière.