Qui veut aller loin ménage sa monture, a-t-on coutume de dire. Manifestement, le Représentant-résident de l’IAI-Cameroun, Armand Claude Abanda, semble avoir bien assimilé cette maxime.
Car, après la double cérémonie (l’inauguration d’un édifice flambant neuf et la remise des attestations de fin de formation aux jeunes et femmes) qui a mobilisé grand monde pour la cause des technologies de l’information et de la communication (TIC), le 21 octobre 2019 dans la ville de Garoua (nord-Cameroun), Armand Claude Abanda a tenu à réunir autour de lui une vingtaine de chefs de Centre IAI-Cameroun à travers le pays.
Une rencontre ayant pour but non seulement d’approfondir la réflexion sur le processus d’harmonisation de la gestion des structures délocalisées du Centre d’excellence technologique Paul Biya sur le territoire national, mais aussi d’impulser une nouvelle dynamique au fonctionnement du programme social un Million de jeunes, d’enfants et de femmes (MIJEF) à l’horizon 2035, fortement porté par ces structures opérationnelles.
L’expert en matière digitale (M. Abanda) dont le savoir et le savoir-faire sont davantage sollicités à travers le continent noir entend ainsi remobiliser les troupes pour aller à la quête de nouveaux lauriers. Ce d’autant plus qu’avec ses plateformes innovantes pour l’enrôlement des couches marginalisées et démunies dans le domaine des TIC (Opération 100 000 femmes à l’horizon 2012 et MIJEF 2035), le Centre d’excellence technologique Paul Biya a déjà formé plus de 300 000 jeunes et femmes, et plus de 5 000 ingénieurs des travaux informatiques.
Une initiative sociale qui bénéficie des appuis multiformes de la première Dame Chantal Biya.
11/12/24 à 13h46 GMT