Le colloque est divisé en 3 parties : le mouvement volontaire (1) ; le mouvement contraint (2) et le mouvement naturel (3).
La troisième partie, consacrée au mouvement naturel, présidée par Monsieur M. Prieur, Professeur émérite et Doyen Honoraire de la Faculté de Droit et des Sciences Economiques, Université de Limoges, Directeur scientifique du CRIDEAU. Elle portait sur la dynamique du vivant non humain.
Cette troisième partie comportait deux aspects : l'un consacré au mouvement naturel, objet de droit (1), l'autre au mouvement naturel, un défi au droit (2).
1. Le mouvement naturel, objet de droit
Dans ce cadre, Madame J. Gudefin, Doctorante, IDE, Université Lyon 3 a consacré une présentation au cycle de l'eau traduit par le droit. Dans le même sens, la directrice scientifique du colloque, Madame I. Michallet, Directrice adjointe de l'IDE, Université Lyon 3 s'est concentrée sur la migration animale comme un phénomène juridique.
Puis, c'est à l'énergie et au processus écologique que le colloque s'est intéressé, grâce à deux interventions successives : l'une consacrée au passage du mouvement naturel à la production énergétique (C. Krolik, Docteur en droit, Centre Pau Droit public, Université de Pau - Pays de l'Adour), l'autre à la protection juridique des processus écologiques (E. Naim-Gesbert, Professeur, Université Paris 13 - Sorbonne Paris Cité)
2. Le mouvement naturel, un défi au droit
La troisième et dernière partie de ce colloque était consacrée au mouvement naturel en tant que défi pour le droit, et plus précisément aux liens entre mouvement et écosystèmes. Dans ce sens, Monsieur Ph. Lebreton, Professeur émérite, Université Claude Bernard - Lyon 1 a présenté le mouvement dans les écosystèmes, tandis que Madame A. Langlais, Chargée de recherches, IODE UMR 6262, CNRS Université Rennes 1 a proposé une intervention sur le mouvement naturel, un service écosustèmique ?
06/05/24 à 12h32 GMT