La prochaine rencontre de l’eau portera sur la « Restauration des milieux aquatiques : Evolution des pratiques et des acteurs » le 20 novembre à Tours (France). Ces rencontres sont organisées par l’Agence de l’Eau Loire-Bretagne (AELB).
La restauration des milieux aquatiques bat son plein depuis plusieurs années en France. Elle vise à redonner une « nouvelle jeunesse » à des écosystèmes qui ont été plus ou moins dégradés par l’Homme. Mais les pratiques afférentes ont évolué avec le temps, particulièrement depuis l’adoption de la Directive Cadre sur l’Eau (DCE).
Pour les organisateurs, cette journée sera l’occasion de faire un état des lieux de l’évolution des pratiques sous l’impulsion de la réglementation et du contexte sociétal. Cet état des lieux permettra d’aboutir à la notion actuelle de restauration des milieux aquatiques, qui s’inscrit dans une approche territoriale cohérente et associe l’ensemble des acteurs concernés.
Le programme se divise comme suit :
-Séquence 1 : repenser les aménagements des cours d’eau
-Séquence 2 : des interventions ponctuelles aux approches territoriales
-Pour le bon état écologique des eaux
-Séquence 3 : les pratiques d’aujourd’hui
-Séquence 4 : et maintenant ?
La rencontre croisera des retours d’expériences de maîtres d’ouvrage de tout le bassin Loire-Bretagne, des reportages sur des réalisations locales et le regard de la sociologie.
La rencontre est destinée aux différents acteurs du bassin Loire-Bretagne, et d’ailleurs, élus et techniciens qui interviennent dans le domaine des cours d’eau et des zones humides.
Les rencontres de l’eau permettent de faciliter les échanges d’expériences entre les acteurs du bassin Loire-Bretagne. Ces derniers (collectivités, industriels, agriculteurs, associations,…) œuvrent pour préserver l’eau et les milieux aquatiques.
En France, les Agences de l'Eau ont pour mission de contribuer à réduire les pollutions de toutes origines et à protéger les ressources en eau et les milieux aquatiques. Elles atteignent leurs objectifs par des interventions financières (elles collectent des redevances sur le prélèvement et la pollution des eaux auprès des activités économiques), la conception et la mise en oeuvre de plans de gestion, la production et la gestion de données sur l'eau.
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