Un quart de la population mondiale vit en Asie du Sud, y compris certains des plus pauvres du monde, qui ont accès à moins de 5% des ressources mondiales d'eau douce, rappelle ce rapport, intitulé " Eau douce en danger : l'Asie du Sud ".
Les trois bassins fluviaux transfrontaliers évalués dans le rapport incluent les plus grands bassins de l'Asie du Sud: le bassin Gange-Brahmapoutre-Meghna (GBM) (qui couvre le Bangladesh, le Bhoutan, la Chine, l'Inde et le Népal), le bassin de l'Indus (en Afghanistan, en Chine, en Inde, au Népal et au Pakistan) et le bassin Helmand (qui couvre l'Afghanistan, l'Iran et le Pakistan).
"Ces grands systèmes fluviaux sont des artères économiques importantes mais aussi des atouts sociaux et environnementaux pour l'Asie du Sud. Investir dans leur gestion durable est donc un investissement dans la prospérité actuelle et future de l'Asie ", souligne le Secrétaire général adjoint de l'ONU et directeur exécutif du PNUE, Achim Steiner.
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