Parmi les participants au colloque on comptait les lauréats du SEED Awards, des représentants des Nations Unies, des représentants du gouvernement et du secteur privé d'Afrique du Sud, ou encore des représentants la société civile et d'universités.
Alors que l'intérêt pour des modèles économiques alternatifs ne cesse de grandir et que le monde est à la recherche d'un système qui intégrerait les variables sociales et environnementales aux cotés des paramètres économiques, ce colloque a porté une attention toute particulière aux entreprises de grandes tailles. En effet, en raison de leur stature et de leur portée internationale, ces entreprises peuvent sans aucun doute devenir les principales actrices de la transition vers une Economie Verte.
Cependant, dans de nombreuses régions développées et en développement, ce sont principalement les petites et les moyennes entreprises (PME) qui constituent le moteur de l'économie. Les entreprises à vocation sociales et environnementales peuvent apporter des contributions considérables à l'économie et aux collectivités locales. Leurs innovations, leurs préoccupations à propos de la pollution, de la sécurité alimentaire, de l'énergie et des gaz à effet de serre, et leur intérêt à améliorer les conditions de vie au niveau local en font des acteurs influents pour l'atténuation des émissions de carbone, pour faciliter l'adaptation au changement climatique et pour le transfert vers des modèles économiques durables.
Source : PNUE
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