Le dioxyde d'azote (NO2) et les particules qui polluent notre environnement sont connus pour réduire les fonctions respiratoires des enfants et des adultes dans la population générale. Des chercheurs ont voulu en savoir plus sur l'impact de ce phénomène chez les personnes ayant bénéficié d'une transplantation pulmonaire. En effet, la récupération d'une fonction respiratoire normale après la greffe est progressive : pendant de nombreux mois, ces sujets sont vulnérables et à risque de rejet de greffe. Les chercheurs ont donc analysé la fonction pulmonaire de personnes transplantées en fonction de la pollution atmosphérique moyenne sur leur lieu d'habitation. Ce travail confirme bien l'effet délétère du NO2 et des particules sur le souffle des personnes greffées...
Communiqué de l'Inserm (1014 hits)