L'ouvrage aborde les problématiques soulevées par la reconnaissance du droit de l'homme à l'eau potable. Il tente de déterminer sa valeur juridique et sa portée actuelle en droit international. Il s'interroge notamment sur la question de savoir s'il s'agit d'un droit contraignant, universel et autonome. La méthode de l'auteur est d'étudier les sources du droit international en se penchant en particulier sur celles adoptées depuis l'observation générale n° 15 du Comité des droits économiques, sociaux et culturels, jusqu'à la Déclaration de Rio 20.
L'ouvrage dresse ainsi un état des lieux critique de la reconnaissance et de l'application du droit à l'eau.
[AICDEAU-2013]
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