L’appétit grandissant des investisseurs pour les « investissements verts » incite les entreprises à plus de transparence sur leur « stratégie durable »
L’Accord de Paris adopté lors de la COP 21 de novembre 2015 prévoit de contenir l’élévation de la température moyenne de la planète nettement en dessous de 2 °C par rapport aux niveaux préindustriels, « étant entendu que cela réduirait sensiblement les risques et les effets des changements climatiques »1. Pour ce faire, le besoin de financement de nouvelles infrastructures s’élève à 100 000 milliards de dollars pour les 15 prochaines années.
La nouvelle recherche sur la finance durable publiée par HSBC2 a été réalisée auprès de plus de 1000 entreprises et investisseurs en Europe, en Amérique, en Asie et au Moyen Orient. Elle fait état des engagements et des actions des entreprises en matière de stratégie environnementale et de la réalité de la pression exercée par les investisseurs institutionnels.
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