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La mode rapide - un coupable du changement climatique


La mode fait partie intégrante de notre culture. Du shopping pour une occasion à une autre, nos envies sont sans limites et les attentes pour maintenir une image à la mode dans la société sont élevées. C'est évidemment très avantageux pour les entreprises. Le terme «mode fas» lui-même explique beaucoup de choses sur l'entreprise. La mode rapide copie les vêtements des défilés et ne dure pas très longtemps dans votre garde-robe. Prenons par exemple zara, h & m, topshop, etc. De nombreuses entreprises de mode rapide produisent des imitations de créateurs populaires pour satisfaire le besoin du client de se sentir luxueux sans payer le prix total.

En 2015, la production textile a généré plus de gaz à effet de serre que le transport maritime impliqué. Une veste nécessite 10 000 (24 ans) d'eau potable à fabriquer. En plus de cela, presque tous les vêtements sont fabriqués dans les pays en développement en raison de la main-d'œuvre bon marché, des faibles impôts sur les sociétés et des politiques gouvernementales assouplies. De nombreux pays en développement ne s'opposent pas aux émissions élevées de gaz à effet de serre dans leurs pays en raison de l'augmentation du taux d'emploi et de la poussée des entreprises multinationales conduisant à un revenu national brut plus élevé. Cependant, le polyester, le nylon et le spandex sont tous faits d'huile. De plus, la viscose (33%) provient de forêts anciennes (70% sous-évaluées tandis que 30% sont utiles).

Pour chaque étape de la production, vous devez utiliser plusieurs processus qui affectent les rivières sur lesquels les gens dépendent. Ils sont empoisonnés qui affectent les enfants. Grâce à une étude sur la qualité de l'eau réalisée par l'ONU, les entreprises de fabrication de tissus polluent les cours d'eau des pays en développement dans une plus large mesure que tout autre processus. Cependant, ce ne sont pas seulement les émissions de gaz à effet de serre qui causent les dégâts, mais aussi les décharges de vêtements qui s’empilent. Ce que les organismes de bienfaisance ne peuvent pas donner ou vendre est vendu aux pays en développement ou est incarcéré. Les normes éthiques de base ne devraient pas dominer ce comportement car il peut devenir très dangereux pour notre climat.

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