Le ministre congolais de l’Economie forestière et de l’Environnement, Henri Djombo, a déclaré, le 15 septembre 2004, que son pays est entièrement à jour en ce qui concerne la ratification des traités internationaux liés à l’application du Protocole de Montréal (Canada), régissant la production et la consommation des substances néfastes pour la couche d’ozone. Dans le cadre de la protection de l’environnement, le Congo a signé le 22 mars 1985, la Convention de Viennes (Autriche) relative à la protection de la couche d’ozone, et l’a ratifiée en 1994.

Le Congo a adhéré en 2001 à tous les amendements qui sont venus renforcer le Protocole de Montréal en matière d’élimination des substances réglementées. Comme d’autres signataires du Protocole de Montréal, le Congo a mis sur pied des mécanismes de lutte contre la diminution de la couche d’ozone. Le ministère de l’Environnement a mené des actions visant à informer les populations des effets négatifs de certaines substances. «Nous avons opté pour une large campagne de sensibilisation du public sur le phénomène du trou d’ozone stratosphérique, qualifié par les scientifiques de catastrophe environnementale la plus sérieuse du siècle dernier», a expliqué M. Djombo.

L'ozone joue un rôle bénéfique en absorbant la plupart des rayons ultraviolets dommageables sur le plan biologique. L'ozone joue un rôle déterminant dans la structure de la température de l'atmosphère terrestre.

Source : Congo Site Actualités