"Faire progresser rapidement les techniques de gestion de nos précieux sols sera la clé de la sécurité alimentaire, de la gestion des ressources en eau et du climat au 21e siècle. Selon l'Annuaire du Programme des Nations Unies pour l'environnement 2012, au cours du siècle dernier, 24% de la surface terrestre mondiale a déjà été touchée par les conséquences de la gestion non durables des sols: parmi lesquelles une baisse de la santé et de la productivité des sols."
C'est ainsi qu'on rapporte un des messages clés de l'Annuaire du PNUE sur le Centre des nouvelles du PNUE. En effet, l'Annuaire du PNUE 2012 "met en avant une série d'évaluations qui indiquent que certaines formes d'agriculture conventionnelle et intensive déclenchent un phénomène d'érosion des sols près de 100 fois supérieurs au taux à laquelle la nature façonne les sols en premier lieu.
Si nous ne changeons pas nos techniques de gestion des sols, seuls 20% des habitats terrestres (tels que les forêts, les tourbières et les prairies) dans les pays en développement pourront encore être convertis en terres cultivées d'ici 2030, ce qui aggravera encore davantage la perte de services éco systémiques vitaux et la disparition de la biodiversité.
La détérioration des sols pourrait également avoir des implications profondes dans le mécanisme des changements climatiques. [...]"
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Source: Centre des nouvelles du PNUE
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