Les villes allemandes hébergent une plus grande diversité végétales que les campagnes, mais les espèces urbaines villes sont plus étroitement liées et sont souvent fonctionnellement similaires. De ce fait, les écosystèmes urbains sont plus sensibles aux impacts sur l'environnement.
C'est la constatation d'écologistes du Centre de recherche Helmholtz sur l'environnement (UFZ) qui a évalué 14 millions d'entrées de la base de données FLORKART, qui a été mis en place par plusieurs milliers de bénévoles au cours des dernières années.
L'équipe de recherche explique que la protection des espèces doit non seulement s'attacher à préserver autant d'espèces que possible, mais aussi prendre en compte leur degré de parenté, en fonction des modifications des conditions environnementales.
Paru dans le numéro d'octobre de l'Ecology Letters, les chercheurs affirment que depuis l'urbanisation cette tendance ne fait que progresser et devrait encore progresser dans l'avenir, en conséquence, nous devons élaborer des stratégies visant à protéger la diversité des espèces, même dans les villes.
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