Le GT I a examiné: la mise en œuvre de l’Objectif 16 d’Aichi sur le Protocole de Nagoya; la troisième évaluation et examen du Protocole de Cartagena sur la prévention des risques biotechnologiques; le suivi et l’établissement de rapports au titre du Protocole de Cartagena; le respect des deux Protocoles; l’évaluation et l’examen au titre du Protocole de Nagoya; la mobilisation des ressources et le mécanisme financier prévu par la Convention et ses deux protocoles. Le GT II a abordé: les EEE; la biologie de synthèse; les pollinisateurs; la géo-ingénierie; la gestion durable de la faune; l’intégration de la biodiversité; la biodiversité et le changement climatique; la biodiversité forestière; la restauration des écosystèmes; l’état d’avancement de la réalisation des objectifs d’Aichi 11 (zones protégées) et 12 (espèces menacées); la biodiversité et la santé humaine.
Des groupes de contact sur les EEE, les ZIEB et la biologie synthétique se sont réunis tout au long de la journée.
GROUPE DE TRAVAIL I
L’OBJECTIF 16 D’AICHI (PN): Le Secrétariat a présenté le document pertinent (UNEP/CBD/NP/COP-MOP/2/2), signalant que l’objectif traite de la ratification et des niveaux nationaux de mise en œuvre et soulignant les récentes ratifications du Cameroun et de Malte. De nombreux délégués ont rendu compte de leurs processus de ratification et de l’élaboration de cadres d’APA. L’ARGENTINE a déclaré être sur le point de déposer l’instrument de ratification. FIJI a déclaré qu’il assure le respect des obligations du Protocole de Nagoya par tous les ministères sans législation de mise en œuvre particulière. Le KENYA a rendu compte de son système de délivrance de permis numérisé.
Le porte-parole des pays riches en biodiversité aux vues similaires (LMMC) a souligné le besoin de ressources financières et de renforcement des capacités pour la mise en œuvre, SAMOA y ajoutant, la nécessité de mettre en place un système fonctionnel de partage des avantages. La NORVÈGE a suggéré que de nouvelles structures institutionnelles pour la mise en œuvre du Protocole soient établies «selon qu’il convient». Le FIAB a demandé que les savoirs traditionnels confidentiels ne soient transmis au centre d’échange sur l’APA qu’assortis du CPCC libre des PACL. L’UICN a recommandé que les Parties fournissent régulièrement au Secrétariat des données sur les structures institutionnelles et la législation, qui seront partagées par le Centre d’échange sur l’accès et le partage des avantages...
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Source : Bulletin des Négociations de la Terre
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