Dans le cadre de ce projet, que nous avons intitulés "De la Cybercriminalité à la Cybersécurité; une convention internationale pour aller vers un monde nouveau, digitalisé, durable, protecteur, des plus vulnérables (Femmes, des Jeunes filles et des Enfants) ", nous entendons répondre aux objectifs de notre mission principale; à savoir : porter notre pierre à l'édification mondiale de la réalisation transversale des 17 objectifs du développement durable.
En l'occurrence, à travers ce projet, il s'agit de mettre en résonnance la réalisation des Objectifs du Développement Durable n°5 "Egalité des genres ", les ODD 16 " Paix, Justice et institutions efficaces " et 17 "Partenariat pour la réalisation des objectifs" dans le cadre de la lutte contre la cybercriminalité.
La cybercriminalité représente plus de 1000 milliards de dollars qui échappent au radars des autorités chaque année . Cette argent "sale" est principalement le fruit d'entreprises malhonnêtes initiées dans le monde virtuel en direction des populations vulnérables parmi lesquels se trouvent entre autres les femmes, les jeunes filles et d'une manière générale les enfants. Les cybercriminels de mieu en mieu organisés fonctionnent en réseau et agissent stratégiquement simultanément depuis de nombreux pays . Ils utilisent le vide juridique, l'absence de frontières dans le milieu cyber pour agir.
Un début de solution est apportée par l'ONUDC en 2022 qui propose de contrer cet état de fait par la création d'un outil de coopération internationale: elle diligente alors un comité spécial chargé de rédiger une convention mondiale de lutte contre la cybercriminalité.
Comité spécial chargé d'élaborer une convention internationale globale sur la lutte contre l'utilisation des technologies de l'information et des communications à des fins criminelles
Humanity For The World (HFTW) a saisit l'opportunité de faire partie de ce comité spécial pour être le haut parleur de ces populations vulnérables ( Femmes, Jeunes filles et enfants) du milieu cyber et veille ainsi à ce que la situation des Femmes, des jeunes filles et des enfants soient prise en considération.
Nous avons participés concrètement à l’élaboration du document en formulant des amendements, des modifications ; paragraphe après paragraphe, chapître après chapître.
Nous avons portés 10 contributions orales et 3 contributions écrites en ligne sur le site des Nations Unies : ces contributions ont portés essentiellement sur le sujet de la vulnérabilité des femmes, des enfants dans l’univers cyber, notamment de la situation des enfants face aux prédateurs sexuels en ligne, à la vente illicites précisément d’organes d’enfants en ligne, à l’esclavage sexuel en ligne, au cyberharcèlement vécu par les femmes, les enfants; à la vulnérabilité des états pauvres face aux cyberattaques ; et nous avons alertés sur l’organisation de plus en plus pointus des hackeurs et inviter les parties prenantes à travailler de sorte que la convention puisse prévoir l’évolution galopante des technologies. Nous avons également soutenu certains états membres dans le cadre de leur plaidoyer notamment la France, union européenne et ses états membres notamment.
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